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Que feriez-vous pour booster l’entrepreneuriat en tant que Président de la République ?

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Aujourd’hui je vous propose un nouveau challenge :

Si vous étiez Président de la République Française en 2012, que feriez-vous pour booster l’entrepreneuriat en France ?

Pour participer au challenge et gagner des lots, répondez à cette question dans les commentaires.

Comment remporter ce challenge ?

Pour épicer un peu le débat, je propose un challenge avec des lots. Voici comment procéder pour remporter ce concours :

La personne qui récolte le plus de « j’aime » sur son commentaire dans cet article remporte le challenge. En cas d’égalité, ce sera le premier qui aura rédigé le commentaire qui l’emportera.

Que remporte le gagnant ?

Je propose deux lots au choix :

– Une visibilité dans la bannière en haut du site de Pourquoi Entreprendre pour le site du ou de la vainqueur(e) + une vidéo dans laquelle je le/la cite + un article

ou

Un coaching à distance de 60 min sur les soft skills ou l’état d’esprit entrepreneurial du ou de la vainqueur(e)

Les dates du concours

Ce concours débute aujourd’hui 4 avril 2012 pour une durée de 1 mois. Vous avez donc jusqu’au 4 mai 2012 pour poster votre commentaire et faire voter vos amis. Je dévoilerai les résultats finaux le 5 mai 2012 à 12h.

Pour résumer ce concours Pourquoi Entreprendre

  • Sujet : Que feriez-vous en tant que Président de la France pour booster l’esprit d’initiative dans votre pays ?
  • Début : 4 avril 2012
  • Fin : 4 mai 2012
  • Résultat : 5 mai 2012 à 12h
  • Lots : une visibilité de un mois gratuitement sur Pourquoi Entreprendre ou un coaching de 60 min
  • Lieu : sur cet article
  • Comment : en postant un commentaire sur cet article et en accumulant le plus de « j’aime » sur votre commentaire
  • Pourquoi ce concours : je suis persuadé que de belles idées vont émerger de ce débat, et aussi pour faire plaisir aux lecteurs

 

A vos commentaires !

 

Par Jérôme HOARAU

Jérôme Hoarau est conférencier en soft skills (Jerome-Hoarau.com) et est co-organisateur du championnat de France officiel de Lecture Rapide et de Mind Mapping. Il a obtenu plusieurs titres de sport du cerveau tels que :
- Champion du monde de Mind Mapping 2018
- Champion du Royaume-Uni de Mind Mapping 2019
- Vice-champion du Royaume-Uni en Lecture Rapide 2019
Il est le co-auteur des livres "Les Gentils aussi méritent de réussir" (Alisio) et de "Soft Skills (Dunod). Il a également co-fondé le site PassiondApprendre.com.

36 réponses sur « Que feriez-vous pour booster l’entrepreneuriat en tant que Président de la République ? »

Excellente initiative 🙂
Je suis sur qu’il y aura plein de bonnes idées reste à savoir si elles serviront plus « haut »… 

Voici les miennes :

– Simplifier les démarches administratives pour monter une société
– Avoir une personne unique qui nous suit à propos de ses démarches
– Pour tous les créateurs, pas de charges sociales la 1ère année
– Baisser ensuite dès la 2ème année drastiquement les cotisations sociales (ex : je suis à la CIPAV et je cotise notamment pour avoir 0€ en IJ… super de payer pour ca…)
– Inciter les banques à faire plus confiance aux entrepreneurs et à moins les embêter (pour être poli) quand il y a des problèmes de trésorerie dans la boite.

Voilà pour des points qui sont « rapidement » possible à mettre en oeuvre.

Pour les réformes de fond :

– Proposer des cursus d’entrepreneurs à l’école. Il existe les séries S, L, ES.. pourquoi pas une série E pour entrepreneur ? il y a de quoi remplir un programme sans problème…
-Montrer par des exemples (faire venir des intervenants extérieurs) que monter sa boite peut être une aventure géniale. 
– Favoriser l’esprit d’initiative plutôt que le carcan que l’on connait de l’éducation nationale. 
– Véhiculer une image meilleure des entrepreneurs (forcement avec des fonctionnaires comme prof, cela n’ade pas..)

Bref, il y a du travail…. 🙂

 

Belle initiative Jérôme !Le gouvernement ne doit ne surtout rien changer, car il y a tellement de choses qui tournent pas rond dans notre bureaucratie qu’il devient facile de créer et de mettre en place des business.Les pistes pourraient être :- adapter l’informations aux entrepreneurs,- proposer des cours de finance, et montrer la logique du système afin d’avoir une vision globale,- démystifier l’argent, et son pouvoir (qui n’apporte rien sur le long terme à part presser la population, et saccager notre environnement),Ces mesures permettraient de rendre la France plus compétitive sur le plan international et deviendrait ainsi meilleure gestionnaire.

Supprimer le RSI et transférer la gestion des cotisations des TNS à l’URSSAF

Charges sociales du TNS: mettre en place des charges au réel (idem auto-entrepreneur)

Excellente initiative : puisse-t-elle être entendue ?.
D’accord pour booster l’esprit d’initiative, mais il faut aussi préparer le terrain auprès de l’opinion publique : notre pays n’aime pas l’entreprise et encore moins ses patrons, alors voici mon programme :- améliorer l’éducation à l’Economie très tôt dans le cursus scolaire et communiquer sur tous les beaux exemples de réussites plutôt que sur les fermetures d’usines.- faire comprendre qu’il ne peut y avoir de progrès social s’il n’y a pas au préalable de progrès économique. Et c’est le rôle de l’Etat que de communiquer sur ces sujets.- favoriser le transfert recherche–>développement –> industrialisation et « chouchouter » l’innovation.- imaginer et projeter le pays dans une vision de notre futur en permettant de nous développer dans les domaines où nous pouvons prétendre à une certaine avance (neurosciences ; biotechniques ; environnement et développement durable ; aerospatial etc.)- encourager l’investissement seul gage de notre future croissance.- simplifier les cotisations et les démarches qui coûtent du temps à l’entreprise et justifient une administration pléthorique.- rétablir un coût du travail compétitif par rapport à nos compétiteurs (ce qui suppose de communiquer autrement car le coût du travail ne peut être réduit au coût salarial horaire : c’est une combinaison du coût horaire, de la productivité, de la qualité …)
– réformer la représentation syndicale pour la faire évoluer en maturité dans son rôle et sa représentativité.

Pour booster l’entreprenariat, je ferais adopter une mesure très simple et peu coûteuse, en m’inspirant de ce qui a été fait par Jack Lang pour les écrivains : je permettrais à tout entrepreneur individuel d’opter, s’il le souhaite, pour un étalement sur cinq ans de ses bénéfices dans sa déclaration de revenus. Cette mesure, de simple justice, permettrait limiter l’effet «montagnes russes » ( amplifié à le mode de calcul des charges sociales) qui caractérise  les revenus des indépendants,  et  les conduit à être imposés, les bonnes années, à un taux marginal très élevé, alors qu’ils touchent simplement le fruit des efforts déployés les années précédentes. Elle apporterait en outre au Président la « reconnaissance éternelle » des entrepreneurs concernés, tout comme Jack Lang a acquis, à l’époque, celle des écrivains!

Notre pays, pour en faire un pays d’entrepreneurs, a besoin de changer de mentalités et de faire évoluer celles-ci en sortant des carcans lobbyistiques et administratifs qui gangrènent l’esprit d’initiative entrepreneurial.
 
Pour ce faire les axes d’actions à mener sont divers :
 
– actions de formation : l’entreprise est toujours abordée de manière théorique et ce n’est pas le stage de 5 jours en CCI ou en Chambre des Métiers qui transfrome un porteur de projet en entrepreneur. Il est donc indispensable de prévoir des cursus de formation plus longs et plus pragmatiques finançables par les OPCA dans le cadre de DIF ou autres à destination des demandeurs d’emploi et des salariés;
 
– déductibilité fiscale des actions de parrainage menées par des entrepreneurs seniors à destination des entrepreneurs juniors. Nombreux sont les entrepreneurs qui souhaitent aider les jeunes entrepreneurs, mais le bénévolat (tradition bien française) a ses limites. Il n’y a rien rien de tel que le pragmatisme d’un sachant pouvant dispenser conseils et assistance à  des jeunes entrepreneurs mais cela demande du temps et la mise à disposition du savoir doit être récompensée dans un objectif professionnel
 
– déductibilité fiscale des adhésions aux clubs d’entrepreneurs : notre pays ne vit que sur l’interdit et la peur du gendarme. Nos amis anglo saxons se gaussent de notre manque de pragmatisme criant et si on veut faire partie d’un club d’entrpreneurs où le partage des expériences est de mise, et bien il faut mettre la main à la poche, alors que ce type d’expériences vaut toutes les formations du monde. Notre marche à l’envers : nous avons de très nombreuses actions de formations pour les salariés et très peu pour les dirigeants alors que là les besoins sont immenses.
 
– dérégulation de l’accompagnement du créateur et du développement d’entreprise : notre code napoléonien enferme le dirigeant d’entreprise dans un carcan réglementaire et juridique kafkaïen. Outre la nécessité de simplifier le droit des sociétés, le droit commercial et le droit social, il est indspensable de permettre aux jeunes entrepreneurs, aux TPE et aux PME qui n’ont pas la possibilité d’embaucher un juriste, de pouvoir externaliser cette partie ô combien pénalisante, comme la possibilité lui est offerte en matière d’expertise judiciaire. Envrion 30 à 40 % des entreprises mettent la clef sous la porte dans les 3 ans suite à des problèmes juridiques ou sociaux insuffisamment appréhendés. Il faut aller plus loin que le simple dispositif NACRE et permettre aux entrepreneurs de faire choix de leur accompagnant sans tomber dans le dirigisme juridique de passer obligatoirement par un avocat (qui n’est pas forcément un spécialiste du droit et de la stratégie du développement d’une société, qui implique que l’on connaisse les difficultés d’une société, ce qui n’est pas forcément le cas lorsqu’on exerce de manière libérale). Il est donc nécessaire de développer le principe des « conciergeries juridiques » composées de véritables spécialistes du droit des sociétés (rétablir le principe des conseils juridiques qui ont disparu depuis la loi de 1991, ceux ci étant noyés dans la masse des avocats dont la formation est essentiellement dirigée vers le contentieux et très peu sur la stratégie et le conseil en entreprise)
 
– Création d’un « Guichet de l’entrepreneuriat » auprès de la Banque de France en dehors du système bancaire traditionnel qui ne joue plus son rôle. Notre pays a su créér des commissions de surendettement auprès de la Banque de France pour effacer les dettes des particuliers alors que rien n’est pardonné aux dirigeants des TPE et PME, particulièrmenent vulnérables et exposés, et bien souvent sans ressource au démarrage de leur activité. Ce guichet bancaire résrevé aux entrepreneurs de moins de 50 salariés doit permettre d’effectuer des prêts à taux limités et mutualisés. Le financement se fait par une indexation sur la taxation des flux financiers résultant des plus values réalisées sur les échanges réalisés. C’est le principe de la taxe Tobin mais dont le bénéfice est reversé, non pas sur le développement du social, mais sur le développement de l’économie par le financement de la croissance et de la productivité. Il ne faut pas oublier que bon nombre de grands donneurs d’ordre du CAC 40 ou du second marché, vivent très bien grâce aux sous-traitants !! Il faut aussi que ces derniers puissent vivre pour faire vivre les plus « gros » . C’est le partage des richesses, non pas vers l’assistanat social  mais vers ceux qui s’exposent.
 
– Exonération totale de charges des entreprises durant les deux premiers exercices fiscaux fnancée par le bénéfice de la TVA sociale, sans décalage ni report sur la 3éme année (dont on connait les effets désastreux) et exonération totale de chaque embauche durant un an complet pour toute entreprise jusqu’à 5 embauches en CDI dans un délai maximal de 5 ans. On transfère souvent le principe de subvention sur des collecttivtés pour financer des embauches. Autant le faire à la source systématiquement. Une embauche en CDI équivaut à une sécurisation d’embauche et mécaniquement à un salarié qui paiera des impôts et grâce aux salaires payés investira dans l’économie (un  CDI permet d’obtenir un prêt bancaire qui lui même servira à acheter un véhicule, des biens de consommations etc…bref à faire vivre l’économie tout simplement). Aujourd’hui bon nombre d’entrepreneurs sont surchargés mais ne peuvent embaucher car une embauche représente un risque et des charges trop importantes
 
– Création d’un RME : Revenu Minimum Entrepreneurial, permettant aux dirigeants non salariés de bénéficier d’un revenu de 750 euros par mois durant une période maximale de deux ans (ce RME prenant la suite des éventuelles indemnités versées dans le cadre du dispositif Pôle Emploi ARCE, lui même octroyé dans le cadre du dispositif ACCRE permettant soit le maintien des indemnités chômage soit la capitalisation des droits). Mais quel est donc ce pays qui verse du RSA à des personnes qui restent chez eux et qui laisse sans ressource des milliers d’entrepreneurs qui travaillent certainement plus que 35 heures par semaine, et souvent sans aucune rémunération, une fois les charges et la TVA payée !! Financement par les collectivités locales qui plutôt que de construire des ouvrages qui ne servent pas à grand chose, seraient plus à même de reverser une partie des taxes locales et CET (ex taxe professionnelle) sous cette forme. Une entreprise dans une ville ou une région est une plus value, de la création de richesse pour l’économie locale surtout si elle embauche localement. N’oublions pas avant de réclamer aux entreprises des embauches, des embauches, que ce sont les entreprises qui embauchent (pas les élus et les politiques) et que pour qu’une entreprise puisse embaucher, encore faut-il la pérenniser !!
 
Voilà mon programme !! Si vous dites « chiche » cliquez sur « J’aime » !!

Il faut agir sur le « nerf de la guerre », c’est à dire le financement et la psychologie du risque. Pour rattraper le retard français sur l’utilisation de la FINANCE PARTICIPATIVE (« crowdfunding ») et redonner du sens à l’épargne en stimulant l’amorçage des nouvelles entreprises, il existe de nouvelles solutions qui vont révolutionner la création d’entreprise.

Si j’étais élu Président de la République en 2012, je ferais en sorte que plus aucun entrepreneur ne dise « dommage que je n’aie pas assez d’argent pour me lancer » ou « les banques ne voudront jamais me prêter », etc. Avec moi ils diraient par exemple « j’ai trouvé 89 associés sur Internet grâce à PARTICULIERS ASSOCIES, ils ont investi 65.000 € et possèdent 30% de mon entreprise. Et le tout en moins de 3 mois ! Et le plus important, c’est qu’ils m’apportent leur expertise, leurs suggestions, leurs réseaux, 100% en ligne ! »

Pour en savoir plus sur les amendements proposés par les acteurs de la FINANCE  PARTICIPATIVE, voir ici http://finpart.p2pventure.org/appel26mars/compte-rendu-evenement-26-mars.pdf

Je commencerais par travailler sur l’image de l’entrepreneur. Les statistiques sur l’entrepreneuriat classe les entrepreneurs notamment par niveau d’études ce qui laisse à penser que cela ne doit pas être « sorcier » alors que pour tous c’est un long chemin, un véritable engagement, une école formidable.
Quand vous avez occupé une fonction avec des responsabilités, devenir entrepreneur d’une TPE est presque suspect ! D’où le travail sur la revalorisation de l’entrepreneuriat.Et que le futur Président ne s’intéresse pas qu’à l’innovation technique / technologique  mais aussi à l’innovation sociale. Les hommes sont un bien si précieux.Voici ma modeste suggestion.

Pour être  plus bref et concis que les avis déposés jusqu’à lors :
– ponctionner 50% des ‘avantages’ des grands dirigeants (hauts fonctionnaires de l’Etat et leurs avantages, grands patrons d’établissements publics, …) pour, tout simplement, favoriser l’entrepreneuriat
cela représenterait … à vos calculettes pour définir l’IMMENSE GAIN financier !

une allocation de1500 € (?) mensuel à tous porteurs de
projets susceptibles de créer 2 embauches minimum dans un délai de 2 ans. Cette
allocation sera perçue quel que soit le type de projet : entrepreneurial,
associatif, évènementiel, humanitaire… 

 

Si
vous étiez Président de la République Française en 2012 que feriez-vous pour
booster l’entrepreneuriat en France ?

 

 

1.       Créer une banque pour les
entrepreneurs en même temps que celle des PME décidée par les 2 principaux protagonistes
du second tour actuel des présidentielles (base OSEO + FSI)

2.       Obliger les banques à prêter
aux entrepreneurs (déclarés en société) jusqu’au montant de leur apport en capital
et en compte-courant en prêt(s) à moyen ou long terme sans caution ou garantie
personnelle mais sur accréditation après validation du projet ou des activités par
des experts ou organismes reconnus en tant que tels (CCI, associations,
organismes publiques ou parapubliques, indépendants, …)

3.       Rendre forfaitaire l’ensemble
des charges fiscales (à l’exception de la TVA), contributions et taxes (CVAE,
formation, apprentissage, médecine du travail, transport, …) et charges sociales
(salariales et patronales) du ou des dirigeants et des 10 premiers salariés
pendant les 5 premières années, avec règlement différé de 3 mois à un seul et
unique organisme

4.       Que l’ensemble des lois,
décrets et dispositifs du Législateur les concernant, ne leur soit applicable
que 2 fois dans l’année maximum

5.       Que toutes aides de l’Etat, d’une
Collectivité Locale, d’un organisme privé ou publique leur soient versées dans
les trois mois de leur octroi.

6.       Qu’ils bénéficient d’une « Carte
Vitale d’Entrepreneur » reprenant numériquement l’ensemble des informations
concernant leur identité complète vis-à-vis de tous les organismes auxquels ils
peuvent ou doivent s’adresser. Ceci doit partir du Kbis en passant par les
organismes sociaux au sens large, les administrations, organismes financiers, des
comptes annuels, etc. Afin de ne pas multiplier l’enregistrement multiple,
différent et purement administratif tel qu’il est actuellement. Disposer aussi
d’un organisme ou d’un interlocuteur unique.

7.       Avoir la possibilité d’engager
un ou deux doctorants avec le même principe que le VIE (Volontariat
International en Entreprise)

8.       Transformer le CIR en CII
(Crédit d’Impôts Innovation) qui prendrait en compte le champ des couts du CIR
actuel mais aussi un certain nombre de couts d’activités amonts et avals que
les grosses PME et grands groupes peuvent supporter mais pas les entrepreneurs
innovants.

9.       Avoir la possibilité d’assurer
les couts de lancement de projets innovants (même s’ils sont éligibles au CIR) :
assurance innovation au même titre que l’assurance prospection export

10.    Disposer d’un droit du travail
simplifié

11.    Avoir une plus grande
possibilité d’appliquer le temps de travail plus souple aux premiers salariés et
pour exemple 5x8h hebdo ou modulation saisonnière possible, … Laisser le choix
à l’entrepreneur et non à un accord avec les salariés.

12.    D’entrée, avoir la possibilité
pour les activités « Fabriqué en France » d’appliquer le système de la « TVA
Sociale »

 

 Si
vous étiez Président de la République Française en 2012 que feriez-vous pour
booster l’entrepreneuriat en France ?

1.    Créer une banque pour les
entrepreneurs en même temps que celle des PME décidée par les 2 principaux protagonistes
du second tour actuel des présidentielles (base OSEO + FSI)

2.   Obliger les banques à prêter
aux entrepreneurs (déclarés en société) jusqu’au montant de leur apport en capital
et en compte-courant en prêt(s) à moyen ou long terme sans caution ou garantie
personnelle mais sur accréditation après validation du projet ou des activités par
des experts ou organismes reconnus en tant que tels (CCI, associations,
organismes publiques ou parapubliques, indépendants, …)

3.   Rendre forfaitaire l’ensemble
des charges fiscales (à l’exception de la TVA), contributions et taxes (CVAE,
formation, apprentissage, médecine du travail, transport, …) et charges sociales
(salariales et patronales) du ou des dirigeants et des 10 premiers salariés
pendant les 5 premières années, avec règlement différé de 3 mois à un seul et
unique organisme

4.    Que l’ensemble des lois,
décrets et dispositifs du Législateur les concernant, ne leur soit applicable
que 2 fois dans l’année maximum

5.    Que toutes aides de l’Etat, d’une
Collectivité Locale, d’un organisme privé ou publique leur soient versées dans
les trois mois de leur octroi.

6.   Qu’ils bénéficient d’une « Carte
Vitale d’Entrepreneur » reprenant numériquement l’ensemble des informations
concernant leur identité complète vis-à-vis de tous les organismes auxquels ils
peuvent ou doivent s’adresser. Ceci doit partir du Kbis en passant par les
organismes sociaux au sens large, les administrations, organismes financiers, des
comptes annuels, etc. Afin de ne pas multiplier l’enregistrement multiple,
différent et purement administratif tel qu’il est actuellement. Disposer aussi
d’un organisme ou d’un interlocuteur unique.

7.   Avoir la possibilité d’engager
un ou deux doctorants avec le même principe que le VIE (Volontariat
International en Entreprise)

8.    Transformer le CIR en CII
(Crédit d’Impôts Innovation) qui prendrait en compte le champ des couts du CIR
actuel mais aussi un certain nombre de couts d’activités amonts et avals que
les grosses PME et grands groupes peuvent supporter mais pas les entrepreneurs
innovants.

9.    Avoir la possibilité d’assurer
les couts de lancement de projets innovants (même s’ils sont éligibles au CIR) :
assurance innovation au même titre que l’assurance prospection export

10.   Disposer d’un droit du travail
simplifié

11.  Avoir une plus grande
possibilité d’appliquer le temps de travail plus souple aux premiers salariés et
pour exemple 5x8h hebdo ou modulation saisonnière possible, … Laisser le choix
à l’entrepreneur et non à un accord avec les salariés.

12.  D’entrée, avoir la possibilité
pour les activités « Fabriqué en France » d’appliquer le système de la « TVA
Sociale »

 

L’envie d’entreprendre est souvent bloquée par les prêts bancaires qui sont bien souvent accordés avec une condition d’apport minimum de 20 à 30% du montant de l’opération !!
Si je serais président je noterai plus l’idée et la stratégie mise en place que la garantie financière du candidat, donc j’imposerai une autorisation de prêt sur des garantie d’apport à hauteur de 5%, ce qui permettrait à un plus grand nombre d’entrepreneurs de se lancer.
Vous pensez bien que ceux qui ont le courage de se lancer ce n’est pas pour échouer ensuite et ce n’est pas le montant de l’apport qui garantie la réussite de l’opération…
Un candidat qui vous parle en connaissance de cause !!! 

Si j’étais président, premières mesures concernant les TPE :
Supprimer :
– Le « statut » auto-entrepreneur 
– Combattre le travail clandestin
– Supprimer les subventions à toutes les entreprises
A la création fournir au CFE:
– Un business plan commenté par un collège de 3 chefs d’entreprise ou par un spécialiste de la gestion choisi par le créateur de l’entreprise 
– un plan de trésorerie rigoureux pour un durée de deux ans minimum avec un outil de suivi spécifique de la trésorerie (validé également par les mêmes personnes)
Pour l’accompagnement sur les 2 premières années :
– Offrir un crédit gratuit de 10 heures pour du conseil dispensé par des spécialistes (juristes, expert comptable, conseil en gestion, URSSAF, impôts, etc.)
 – Favoriser la création de pépinières d’entreprises
Instaurer :
– Proposer aux nouvelles entreprises des formalités de création d’entreprises allégées ainsi qu’un mode de calcul et de paiement simplifié des cotisations et contributions sociales et de l’impôt sur le revenu
Plus radical :
– suppression de la dotation aux amortissements
– suppression du statut de l’entreprise individuelle

 

Ce que devrait faire le prochain président :

Avoir recours à un vivier universitaire non encore exploité.

-Il suffirait d’aider les entrepreneurs avec des solutions à moindre coût (Business Plan et Études de marché effectués par des étudiants compétents et ayant soif d’expériences) ;

-Mais également aider les jeunes universitaires dans leur projet entrepreneurial : mettre en place une structure type « incubateur » leur permettant d’obtenir des conseils de professionnels, de professeurs et des subventions. Une telle structure serait gérée par des étudiants qui accompagneraient des entrepreneurs-étudiants dans leur création d’entreprises.

De telles structures existent partiellement, à savoir les Junior-Entreprises en Université, mais dans leur configuration actuelle (et l’absence de soutien des dirigeants d’Universités et des pouvoirs publics) il n’est pas encore possible d’offrir ce type d’accompagnement qui serait pourtant gagnant pour tous (aussi bien pour les accompagnateurs en demande d’expériences pratiques que pour les créateurs souvent désorientés)

Redonnons un sens au mot entreprendre, et cela commencerait au sein des Universités !

Je suis Présidente de la république ? Bien, alors voici mes mesures en faveur de l’entrepreneuriat :

A) ENSEIGNEMENT > Introduire des cours sur l’entreprise : ce que c’est, la créer, la gérer pour l’esprit d’initiative et parce qu’un emploi salarié ne peut être garanti à vie

B) ACEP > Aide à la Création d’Entreprise Personnalisée : Allocation calquée sur l’APL (Aide Personnalisée au Logement) versée au futur créateur d’entreprise pour rémunérer les services de son choix (organismes institutionnels compris) pendant la période de création et pendant toute la vie de son entreprise si celle-ci démontre sa pérennité grâce à ceux-ci

C) ENCADREMENT > Indépendants ou cabinets, associations et autres agréés par l’état dont la liste est fournie aux bénéficiaires de l’ACEP

D) FINANCEMENT > Favoriser les investissements des particuliers en faveur des entreprises en exonérant d’impôt les bénéfices réalisés

E) FORMATION > Permanente des entrepreneurs dès qu’une loi nouvelle modifie la gestion des entreprises : mieux comprendre celle-ci

etc. etc. Ajouts possibles ! 😉

À noter que l’Association d’Intérêt  Économique PILOTAGE Dufresnoy-SFMIE – http://www.pilotage-magazine.org – applique déjà une partie de ces mesures et entends bien au fil du temps pouvoir les appliquer toutes…..

Cordialement,
FD Dufresnoy SFMIE (Soutien Formateur de Modèles Interactifs d’Entreprises)

 Si j’étais présidente de la République, je proposerai une mesure assez simple:
Une dotation de 40 000€ aux 200 idées business les plus innovantes pour les aider à démarrer et surtout à rester en France. Cet argent serait prélévé auprès des grands groupes.

Meriem Boudokhane de Startup Story (http://www.startup-story.fr)

Instauration d’un REVENU UNIVERSEL et effectivement une simplification administrative.

Très sympa comme thème. Qui en fera une synthèse pour notre prochain Président ?
Le soutien à l’entrepreunariat doit passer par une vraie politique économique cohérente nationale. Le marché doit être libéré avec 2 thèmes centraux : le social et l’environnemental. C’est ce que j’appelle être social-libéral. Ainsi, pour contribuer à la réflexion de tous, je propose les idées suivantes :

– Lister les métiers que souhaitent soutenir nos politiques afin de dégager un plan fiscal d’accompagnement qui soit efficace. Avantages : clarté dans la stratégie nationale et recentrage des aides.
– Faire durer les politiques fiscales. Rien de plus terrible que de donner d’une main et de reprendre de l’autre main, voire changer les règles tous les 6 mois. Cela peut passer par un rescrit fiscal automatique via la création d’une nouvelle mission pour l’administration fiscale : validation immédiate des aides ou crédits d’impôts.
– Simplifier la fiscalité. Ajouter des mesurettes tous les 6 mois, rien de pire pour anticiper. Les dispositifs doivent être assurés au moins pendant 5 ans, voir 10.
– L’encadrement des porteurs de projets doit être mieux suivi. Trop de structures, souvent concurrentes, trop d’acteurs. Il faudrait un interlocuteur unique pour chaque grand thème entourant un créateur. Cet intelocuteur, indépendant ou lié à la CCI, doit avoir reçu un guide des référents. Toutes les aides doivent être recentrées en fonction de leur origine : état ou privé.
– Cotisations RSI : les appels de cotisation RSI doivent être définitifs, sans régularisation postérieure. Rien de pire que de recevoir une régul un an après, surtout si elle arrive au mauvais moment.
– Calcul des cotisations RSI : il doit être établi par l’entrepreneur ou son conseil assermenté (expert-comptable par exemple). On a trop de dossiers qui trainent pendant des mois, avec des procédures au Tribunal qui n’ont aucun sens. Le RSI  deviendra simplement contrôleur, comme l’URSSAF pour les salariés.
– Cotisations des salariés : adopter des mesures de tolérance lors des contrôles URSSAF. Parce qu’une signature est mal positionnée ou un formulaire mal rempli, on perd tous ses droits : préférer à tout litige le fond à la forme.
– Aide financière aux créateurs : sous certaines conditions à définir, apport d’une aide d’une durée de 12 mois par exemple, quelque soit la forme juridique ou fiscale de l’installation, en contre partie d’un suivi rigoureux de la gestion et du renforcement des fonds propres. Arrêt de l’aide dès perception d’un salaire.
– Création de délégués à l’export : ce seront des fonctionnaires qui auront la tâches d’accompagner les entreprises à vendre à l’étranger. Importer sans exporter n’a qu’un temps ou en tout cas, ne génère pas beaucoup de valeurs créatrices, notamment d’emplois.
– Accompagnement des entreprises en difficulté : parfois, rien ne sert de s’enfoncer plus, il faut savoir arrêter. L’entrepreneur doit bénéficier d’un suivi spécifique Pole Emploi par exemple. Trop de chefs d’entreprise, sont exclus de notre société dès qu’ils font faillite.
– Accompagner sans cesse : les PME doivent bénéficier d’une bienveillance politique. Ainsi, des structures d’aide ou de suivi doivent bénéficier de subventions afin d’accompagner les chefs d’entreprise et leur apporter plus qu’un simple conseil. Les clubs d’entreprise, sous contrat peuvent être les référents.
– Renforcement des sanctions en cas d’abus du système. En effet, ce qui est donné doit l’être dans un seul objectif : réussir une aventure et non entrer dans un nouveau dispositif d’assistance. Tout entrepreneur est d’accord avec le principe que les aides doivent servir un projet et doivent être ponctuelles.
– Social : pour les PME, systématiser une réduction dégressive des cotisations pendant 12 à 24 mois. Fixation d’un fixe, définitivement acquis et non d’un %, quelque soit le niveau de salaire. Cela favorise  l’embauche de toutes les catégories de salariés et évite le reversement d’aides en cas de prime ou autre.
– Procédure de rupture de contrat de travail facilitée pour les TPE qui, en cas de difficulté économique, ne peuvent confirmer le choix d’une embauche. Cela libère les freins à l’embauche et réduit la flexibilité de l’emploi aux TPE.
– Favoriser les démarches en faveur de l’environnement par la suppression des limites fiscales ou sociales (supprimer les seuils d’imposition, comme les avantages en nature, …)
– …
J’ai plein d’autres idées mais le temps me manque pour continuer ma prose. Si vous voulez en savoir plus, votez pour ce commentaire et retrouvez moi sur mon site : http://www.audexco-flandres.com

Supprimer la taxe CFE pour les autoentrepreneurs car la majorité vivent en dessous du seuil de pauvreté et travaillent à leur domicile. Les collectivités locales n’ont qu’à faire des économies.

Toutes mes félicitations aux différents intervenants.

Cela me conforte dans l’idée que les solutions ne viendront pas d’un Président de la République (ou de son gouvernement). Les solutions, les entrepreneurs les ont (cf les propositions de ce blog). Les solutions ne sont ni des compétences ni du ressort ni, dans le contexte actuel, dans les possibilités d’un Président de la République.

Il faut commencer par s’attaquer au fléau de la « gouvernance de la finance internationale » et de sa déraison : c’est elle qui impose ses solutions aux populations (dont PME). A l’heure actuelle, un Président n’a comme marge de manoeuvre que de limiter la casse autant que faire se peut. L’attitude des grands groupes d’entreprises jette l’opprobre sur toutes les PME dans l’esprit des gens.

De plus, notre pays a une approche extrêmement fiscale et tondre un oeuf est sa politique. Il faut laisser du temps et du crédit au développement d’une entreprise. Il faut la voir comme une cellule souche capable de générer de l’activité économique et de l’emploi à moyen ou même long terme et ne pas la voir seulement sous le prisme de la source de recette fiscale.

Pour que les graines de solution puissent voir le jour, il faut un profond changement d’état d’esprit, d’attitude et comportement avant tout. Il faut commencer par assainir le terrain.

Je paraphraserai Kennedy disant : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays ». Les entrepreneurs sont des personnes de terrain, des gestionnaires ! Il faut leur faire confiance !

Georges Clémenceau disait : « La guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires » ; dans un état d’esprit similaire, je dirai que l’économie est une chose trop importante pour être confiée à des politiciens.

Laissons les politiques faire ce qu’ils savent faire au quotidien : leur « auto marketing carriériste ».

Pour ma part, je pense donc d’emblée que les solutions (structurelles) ne viendront pas d’un Président de la République et de son gouvernement (surtout pas en 2012). Sans changements profonds, nous voilà reparti pour la multiplication du mille feuilles de mesurettes « mais sauf si » apposées tel du scotch sur une plomberie hors d’âge.

Voir ce qu’a fait l’Argentine en la matière :

http://www.politiquessociales.net/Le-FMI-l-Argentine-et-la

Egalement ce lien pour information et regard sous un autre angle :

http://www.paristechreview.com/2012/01/25/homo-politicus-et-ses-erreurs/

Voici le coeur de ma proposition :
*** Dès la classe de 6ème, j’introduirais l’entrepreneuriat et la gestion de projets au programme scolaire. ***(cliquez sur « J’aime » si vous pensez que ce serait une bonne idée)Bien que tout ce résume à ma proposition ci-dessus, si vous voulez continuer à lire, voici maintenant quelques idées afin d’élaborer sur cette proposition.- Les élèves apprendraient en menant des projets concrets. Les projets pourraient être de nature diverses : propositions de nouveaux produits ou services, scientifiques, littéraires, sportifs, artistiques, sociaux, environnementaux, etc. Les idées émaneraient des élèves.- Le cours d’Entrepreneuriat serait hebdomadaire (un par semaine).- Par ailleurs, en plus du cours hebdomadaire, en fin d’année, une, deux voire trois journées pleines (à déterminer en fonction de la charge des calendriers scolaires) seraient consacrées à la « Semaine de l’Entrepreneuriat » dans les écoles. Ces jours seraient accolés à un weekend pour pouvoir allonger la durée de la « Semaine de l’Entrepreneuriat » pour les écoliers qui le désireraient (ce serait encouragé). Pendant ces quelques jours, les écoliers plancheraient de façon intense sur leurs projets.- Les meilleurs projets de chaque établissement (ou par classes de niveaux, à voir), pourraient être sélectionnés pour être représentés au Concours National de l’Entrepreneuriat des Ecoles. Il pourrait y avoir des concours départementaux, régionaux, et un national. Si le terme « Concours » gêne, il serait remplacé par « Festival », « Fête », « Célébration », « Cérémonie » ou tout autre terme de consensus.- Cette « Semaine de l’Entrepreneuriat » pourrait prendre diverses formes : ateliers pratiques où chaque équipe pourrait faire appel à des mentors, rédaction de mini business plans (plans d’affaires), présentation devant jury ou devant la classe, création de supports papiers ou numériques à présenter à des entreprises/associations/professionnels, etc.- En fonction du degré de maturité des élèves, de la 6ème à la Terminale, en plus du côté pratique et des applications concrètes, différents thèmes théoriques seraient abordés pendant les cours d’Entrepreneuriat hebdomadaire. La théorie pourrait être présentée de façon ludique, à travers des discussions, des dialogues avec des intervenants extérieurs. Par exemple, une liste non exhaustive de thèmes à aborder : ce qu’est la création d’entreprise, les peurs/craintes/hésitations/risques/joies/retours du créateur, les peurs/craintes/hésitations/risques/joies/retours des salariés, la définition d’un besoin, l’identification d’un marché ou d’une cible de clientèle, la création de valeur, à quoi sert l’argent, à quoi sert un produit/service, quelques bases de finance et comptabilité (chiffre d’affaires ou recettes, charges ou dépenses, emprunt, intérêt, investissement, retour sur investissement, résultat ou « ce qu’on gagne »), les ressources humaines (les talents de chacun, ses forces, ses faiblesses, les contributions de chacun à la création de valeur), la production, la vente et le marketing (la création de message, le contenu, la forme, les outils), etc.- Des intervenants d’horizons très différents seraient régulièrement invités pour parler de leurs métiers, et de l’entrepreneuriat et de la prise d’initiative en particulier : entrepreneurs, auto-entrepreneurs et travailleurs indépendants, chefs et directeurs d’entreprises (grandes entreprises et PME), président et membres d’associations, cadres, ouvriers, artisans, professions libérales, retraités, etc. Les parents et grand-parents d’élèves seraient mis à contribution.- Au Lycée, lorsque les élèves sont plus matures, ils seraient tous soumis à des tests, types MBTI, Strong Interest Inventory, TRICAM, etc. pour qu’ils apprennent à mieux se connaître : leurs profiles de personnalité, leurs compétences et savoirs-faire, valeurs, centres d’intérêts, etc.- L’Entrepreneuriat serait une épreuve au Baccalauréat, quelque soit la filière. Le sujet de l’épreuve d’Entrepreneuriat serait obligatoire et adapté en fonction des filières.- Coût de cette proposition : probablement des centaines de millions d’euros voire des milliards. Débat nécessaire au niveau national. Cette proposition pourrait avoir l’allure d’une mini réforme de l’Education Nationale : le gouvernement devrait alors s’attendre à une forte mobilisation sociale.- Retour sur investissement de cette proposition : difficile à dire, mais le retour serait probablement tellement énorme qu’il ne serait pas chiffrable. Une fois les phases tests passées, si un tel programme « L’Entrepreneuriat et la gestion de projets introduits au programme scolaire » était mise en place, les premiers petits retours se feraient sentir 10 ans plus tard (premières créations d’entreprises des premières générations du nouveau programme), et les retours significatifs se feraient sentir 15 à 20 ans plus tard (de par le nombre de TPE et PME crées et l’émergence de grosses PME). Par ailleurs, l’esprit entrepreneurial ainsi inculqué à tous aurait un impact positif sur tous (créateurs d’entreprise, salariés, artisans profession libérales, etc.)En conclusion, de nouveau donc, voici le coeur de ma proposition :*** Dès la classe de 6ème, j’introduirais l’entrepreneuriat et la gestion de projets au programme scolaire. ***(cliquez sur « J’aime » si vous pensez que ce serait une bonne idée)

Voici le coeur de ma proposition :

*** Dès la classe de 6ème, j’introduirais l’entrepreneuriat et la gestion de projets au programme scolaire.

(cliquez sur « J’aime » si vous pensez que ce serait une bonne idée)

Bien que tout se résume à ma proposition ci-dessus, si vous voulez continuer à lire, voici maintenant quelques idées afin d’élaborer sur cette proposition.

(1) Les élèves apprendraient en menant des projets concrets. Les projets pourraient être de natures diverses : propositions de nouveaux produits ou services, scientifiques, littéraires, sportifs, artistiques, sociaux, environnementaux, etc. Les idées émaneraient des élèves.

(2) Le cours d’Entrepreneuriat serait hebdomadaire (un par semaine).

(3) Par ailleurs, en plus du cours hebdomadaire, en fin d’année, une, deux voire trois journées pleines (à déterminer en fonction de la charge des calendriers scolaires) seraient consacrées à la « Semaine de l’Entrepreneuriat » dans les écoles. Ces jours seraient accolés à un weekend pour pouvoir allonger la durée de la « Semaine de l’Entrepreneuriat » pour les écoliers qui le désireraient (ce serait encouragé). Pendant ces quelques jours, les écoliers plancheraient de façon intense sur leurs projets.

(4) Les meilleurs projets de chaque établissement (ou par classes de niveaux, à voir), pourraient être sélectionnés pour être représentés au Concours National de l’Entrepreneuriat des Ecoles. Il pourrait y avoir des concours départementaux, régionaux, et un national. Si le terme « Concours » gêne, il serait remplacé par « Festival », « Fête », « Célébration », « Cérémonie » ou tout autre terme de consensus.

(5) Cette « Semaine de l’Entrepreneuriat » pourrait prendre diverses formes : ateliers pratiques où chaque équipe pourrait faire appel à des mentors, rédaction de mini business plans (plans d’affaires), présentation devant jury ou devant la classe, création de supports papiers ou numériques à présenter à des entreprises/associations/professionnels, etc.

(6) En fonction du degré de maturité des élèves, de la 6ème à la Terminale, en plus du côté pratique et des applications concrètes, différents thèmes théoriques seraient abordés pendant les cours d’Entrepreneuriat hebdomadaire. La théorie pourrait être présentée de façon ludique, à travers des discussions, des dialogues avec des intervenants extérieurs. Par exemple, une liste non exhaustive de thèmes à aborder : ce qu’est la création d’entreprise, les peurs/craintes/hésitations/risques/joies/retours du créateur, les peurs/craintes/hésitations/risques/joies/retours des salariés, la définition d’un besoin, l’identification d’un marché ou d’une cible de clientèle, la création de valeur, à quoi sert l’argent, à quoi sert un produit/service, quelques bases de finance et comptabilité (chiffre d’affaires ou recettes, charges ou dépenses, emprunt, intérêt, investissement, retour sur investissement, résultat ou « ce qu’on gagne »), les ressources humaines (les talents de chacun, ses forces, ses faiblesses, les contributions de chacun à la création de valeur), la production, la vente et le marketing (la création de message, le contenu, la forme, les outils), etc.

(7) Des intervenants d’horizons très différents seraient régulièrement invités pour parler de leurs métiers, et de l’entrepreneuriat et de la prise d’initiative en particulier : entrepreneurs, auto-entrepreneurs et travailleurs indépendants, chefs et directeurs d’entreprises (grandes entreprises et PME), présidents et membres d’associations, cadres, ouvriers, artisans, professions libérales, retraités, etc. Les parents et grand-parents d’élèves seraient mis à contribution.

(8) Au Lycée, lorsque les élèves sont plus matures, ils seraient tous soumis à des tests, types MBTI, Strong Interest Inventory, TRICAM, etc. pour qu’ils apprennent à mieux se connaître : leurs profiles de personnalité, leurs compétences et savoirs-faire, valeurs, centres d’intérêts, etc.

(9) L’Entrepreneuriat serait une épreuve au Baccalauréat, quelle que soit la filière. Le sujet de l’épreuve d’Entrepreneuriat serait obligatoire et adapté en fonction des filières.

(10) Coût de cette proposition : probablement des centaines de millions d’euros voire des milliards. Débat nécessaire au niveau national. Cette proposition pourrait avoir l’allure d’une mini réforme de l’Education Nationale : le gouvernement devrait alors s’attendre à une forte mobilisation sociale.

(11) Retour sur investissement de cette proposition : difficile à dire, mais le retour serait probablement tellement énorme qu’il ne serait pas chiffrable. Une fois les phases tests passées, si un tel programme « L’Entrepreneuriat et la gestion de projets introduits au programme scolaire » était mise en place, les premiers petits retours se feraient sentir 10 ans plus tard (premières créations d’entreprises des premières générations du nouveau programme), et les retours significatifs se feraient sentir 15 à 20 ans plus tard (de par le nombre de TPE et PME crées et l’émergence de grosses PME). Par ailleurs, l’esprit entrepreneurial ainsi inculqué à tous aurait un impact positif sur tous (créateurs d’entreprise, salariés, artisans profession libérales, etc.)

En conclusion, de nouveau donc, voici le coeur de ma proposition :

*** Dès la classe de 6ème, j’introduirais l’entrepreneuriat et la gestion de projets au programme scolaire.

(cliquez sur « J’aime » si vous pensez que ce serait une bonne idée)

Si j’étais président de la république, j’essaierai d’agir sur plusieurs éléments que je trouve principaux et qui sont :

1) La trésorerie des TPE / PME
Il faudrait créer un fond spécial dédié aux TPE et PME qui serait financé par les entreprises elles mêmes.
Une sorte de mutuelle / assurance-prévoyance pour les entreprises.
L’entreprise cotise à un fond de son CA. Si en cas de soucis de trésorerie, la banque refuse l’ouverture de lignes de crédit, l’entreprise peut demander un déblocage de fonds à un taux préférentiel (dès lors que la structure est rentable, qu’il n’y a pas d’erreurs de gestion ni d’abus) et remboursable dès que la situation le permet.

2) La mentalité française à ne pas accepter que l’on puisse être un chef d’entreprise et quelqu’un de bien.
Dans le monde anglo-saxon, la culture entrepreneuriale est plus présente car les chefs d’entreprises sont mieux considérés. En France, dès la maternelle, les élèves subissent le matraquage professoral et sont éduqués dans une sorte de bulle remplie de haine contre les gens qui gagnent bien leur vie. Toutefois, les entrepreneurs le savent bien, être chef d’entreprise, c’est avoir des responsabilités lourdes (en terme de RH par exemple), des temps de travail qui excédent les temps moyens d’un salarié lambda, des mois sans se verser de salaire en création etc. Alors oui, au bout de 2/3 ans, on commence à en vivre et si tout se passe bien, en 5/7 ans, le chef d’entreprise est dans une situation plutôt aisée matériellement mais il y a toujours le stress du lendemain.
C’est pourquoi pour éviter de continuer dans ce cercle vicieux, créons un cercle vertueux qui consiste à faire venir des chefs d’entreprises dans les collèges et dans les lycées, à faire des mini business games pour ados afin de les inciter à voir le chef d’entreprise comme un créateur, un innovateur, un leader, un porteur d’économie.
J’ai assisté dernièrement au CJD de Brest à un bilan réalisé par des collègiens qui avaient participé à un real business game. Ils ont créé une mini entreprise avec leurs professeurs et ont du se positionner en tant que dirigeants pour trouver une idée de produit, rechercher des sponsors et des fonds, etc. Cette idée est géniale et c’est en continuant dans ce sens que les mentalités vont évoluer et que la France deviendra un pays d’entrepreneurs.

3) la fiscalité
3e point, je simplifierai la fiscalité, véritable casse tête pour les créateurs d’entreprise

4) amélioration du statut d’auto-entrepreneur
J’améliorerai le statut des auto-entrepreneur, notamment en autorisant la déductibilité de certaines charges obligatoires (comme les frais bancaires, les loyers etc). Le statut d’auto-entrepreneur est vraiment bien pour savoir si ce que l’on vend dispose d’un marché sans pour autant passer par tout le marasme administratif de création d’entreprise.

5) simplification de la création d’une entreprise
L’Etat nous l’a prouvé, créer une entreprise ça peut être facile (On devient entrepreneur en 2 clics). Cela devrait être la même chose pour tout type de société.

Bonjour,

1/ Le fond TPE/PME , Je trouve cela une bonne idée  et une certaine logique . Cela éviterai de mettre le capital dans les mains du système bancaires qui jouent avec et le fructifie ou le perd et avoir !
2/ Juste !
je vis en ireland depuis 8 ans ou j’ai une micro entreprise dans le monde d’artisan ambulant et effectivement lors de petit marche ici, je vois les jeunes avec des projets de création de société. Je trouve cela excellent. Très jeunes , ils sont eux même entrepreneur soutenu par un l’école.
 3) Effectivement simplifions ! 4) Connais pas trop ces termes. Oups? Mais pour moi spontanément, auto-entrepreneur. Cela veut rien dire !5) En ireland, monter sa boite c’est 20€ pour un libéral (Sole trader) et 120€ pour une société Et that’s it! C’est 12,5% de Tax sur les entreprise.En france ils me font rire en parlant de dynamisme ! Et on prête qu’on personne qui ont de l’argent et si t’as un super projet et un business plan carre avec expertise de comptable t’as 30 ans , On va te dire ! « Vous êtes trop jeunes , revenez plus tard…mais ils font des personnes comme vous !  » Bravo !PS/ Je veux pas être président 🙂 Faire le bonheur de 60 millions de français , Wow !

1 – Supprimer les aides et éxonérations en tous genres (le projet doit faire l’objet d’une étude de marché et BP correct qui ressorte la viabilité économique de l’activité)
–> les dépots de bilans restent à la charge de la communauté

2- Simplifier et/ou forfaitiser le calcul et paiement des charges (sociales, c3s, cvae, …)
–> titulaire de 2 bac+5, remplir correctement une déclaration urssaf reste un challenge aléatoire

3- Obliger le créateur à faire appel à un expert-comptable dès la création: celui-ci sera en charge de donner une alerte sur incidents de trésorerie ou viabilité d’activité
–> pourquoi laisser un créateur s’enfoncer dans ses pertes

Pour ma part, je rendrai REELLEMENT et SIMPLEMENT légitime pour l’Assurance Chomage la démission pour motif de création d’entreprise !
 
Cela m’éviterait d’avoir à vendre des vélos chez Decathlon tous les week ends alors que j’ai 100 000 autres choses à faire !!! Sans compter le temps et l’énergie dépensé au Pole Emploi, à la CAF pour le RSA…

—————————————————————————————————————————–
 Mesures simples et faciles à mettre en place pour défendre d’abord les TPE et PME
qui sont l’avenir industriel de la France
—————————————————————————————————————————–

## Propositions :

 * Exonération totale de charges salariales et patronales en cas d’embauche d’un chômeur pour
  les entreprise de moins de 100 salaries.

 * Réduction systématique à 75 % des charges patronales et salariales pour les dix premiers emplois d’une entreprise puis à 50 % pour les 10 suivants, puis à 25 % pour les dix suivants

 * Calculer les charges patronales et salariales selon un taux proportionnel plutôt que fixe. Plus le salaire augmente, moins on paie de charges. Avec une réduction plancher à 40 % de réduction. Ceci permettra de revaloriser naturellement les salaires et de motiver les salariés d’une entreprise.

 * Les fonds investis dans une société française sous forme de prêt privé doivent être   
   déductibles à 66 %

 * Proposer une loi qui interdit à une banque de refuser un financement à
une entreprise qui a
   fait du bénéfice ou dans le cas ou une entreprise a
remporté un appel d’offre public.

 * Mettre en place un statut de Maître d’apprentissage librement consenti pour les plus de 50
   ans afin qu’ils forment des jeunes à leur métier. Pas de charges à payer pour le maitre et
   pour l’apprenti.

 * Généraliser le statut d’autoentrepreneur à toutes les profession indépendantes et
   individuelles. Notamment pour ce qui concerne le prélèvement des charges : 25% maximum
   calculé au réel chaque trimestre.

 * Développer le plus vite possible le réseau de fibre optique sur l’ensemble du territoire, et
   notamment dans les zones rurales afin de permettre à des entrepreneur de s’y installer sans
   subir le retard numérique actuel de ces zones.

————————————————————————————————————————-
## Financement :

 * les cotisations non perçues seront largement compensées par les allocations chômages qui
   ne seront plus versées.

 * Installer une taxe sur les transactions financières trop fréquentes. les actions ou obligations 
   qui font l’objet d’une revente rapide seront taxées à 25 %. Si elles sont conservées pendant
   trois ans, la taxe disparait.

 * Créer une taxe sur les produits importés qui entrent en concurrence avec des produits
   fabriqués en France et qui pratiquent un tarif déloyal en faisant du dumping social. Rendre les
   normes de qualité sur les produits plus strictes en y incluant un label « social ». Renforcer le
   contrôle de ces normes sur l’ensemble du territoire.

 * Re-nationaliser ou prise de participation suffisante de l’Etat dans un groupe bancaire, un
   groupe pétrolier, un groupe fournisseur d’energie afin de réguler les prix et favoriser
   l’investissement des benefices dans la recherche technologique, le soutien aux entreprises
   en difficulté, l’aide au développement des petites et moyennes entreprises.

Si j’étais président…

Initiative jubilatoire. Je résolverai mes soucis d’entrepreneur qui s’articulent autour de ces 3 thèmes :

La trésorerie,
en avoir c’est bien ne pas en avoir c’est passer du temps à en trouver ce qui ne permet pas
de développer son activité.

Les charges
Réduire le poids des charges ou le rendre adapté à la cinétique du développement, en particulier sur la phase d’amorçage.

Rentabilité,
Obtenir une rentabilité qui permettrait à la TPE de passer en PME. Après, on verra…

A – création d’une plateforme d’échange de projets où l’entrepreneur verra sa création étudiée à la fois financièrement mais aussi sur sa pertinence commerciale. De cette manière il accèdera à un pool d’investisseur non étatique, ni entrepreneuriaux qui pourront investir dans le but d’aider ou de défiscaliser. Je sais que OSEO propose un schéma similaire mais la présence de l’état en toile de fond éloigne les investissements de particuliers qui a pour moi un intérêt profond, car propice à éduquer ceux qui investissent vers la création de valeurs et non uniquement la rentabilité du produit.

Ces investissement seront mutualisées vers des niveaux représentant plusieurs sociétés créées, de niveau de risque équivalent, sans que l’investisseur ne puisse nominalement être impliqué au projet. La plateforme se chargera du suivi des évolutions et des éventuels recadrage (capital risque version mutualiste) tâche que pourrait assumer cette fois-ci OSEO.

B- Adoucir la progression des charges sociales voire indexer cette progression sur les 3 premières années selon le taux d’imposition / l’actif au bilan / le chiffre d’affaire de la société.

Les premiers salaires n’apparaissent souvent qu’au bout de 30 mois, qui plus est lorsque le projet est lié à de l’innovation et doit se conformer à une cinétique de développement commercial (éducation du marché, intérêt des prospects, …), sans cela embaucher devient une décision sensible lorsque cela engage la pérennité de la société.

La société n’est fréquemment pérenne que postérieurement à ces 3 années.

Les interlocuteurs : pour résumer je n’en veux qu’un pour les charges, les déclarations TVA etc, les embauches et fusionnez – moi la CCI et la CMA pour leur rôle de conseil en développement. Cela évitera le double enregistrement.

C – Rentabilité…

Je ne touche ni salaire ni dividendes. Seul objectif l’équilibre puis le bénéfice. Je vois le bout de cette situation mais tout de même quelle frustration. Pas de salaire, pas de reconnaissance, et je suis un patron… Honte à moi.
En tant que président, Je suis partisan d’une indemnité de compensation du risque dont l’octroi serait décidé par la plateforme se substituant aux dispositifs tels que l’ACRE et géré également par la plateforme.

D- Innovation..si,si ça existe et éducation.

Vous créez en France des marchés sur lesquels la manufacture de produits à haute VA est engagée et vous voyez vos principaux clients rechigner face à l’innovation et l’investissement alors que le client belge, britannique ou suisse voit le retour sur investissement.

Là réside un besoin d’éducation dans les grosses sociétés. Un google n’aura pas la possibilité de se créer dans notre contrée, ni un Dyson. J’en viens à mon sujet phare, la disparition nécessaire des grandes écoles et leur fusion avec les universités. La compétence intellectuelle
n’est pas mise en cause, c’est la capacité d’innovation et d’entrepreneuriat qui est amoindrie par le schéma de ces écoles, véhiculant sécurité d’emploi, et structurant des réseaux auxquels il faut appartenir (anciens élèves quand tu nous tient).

Pour stimuler la création et multiplier celles qui ont de l’avenir, il est nécessaire de rapprocher l’entreprise de l’innovation, et de rendre cette innovation accessible en un point, pas en une multiplicité de lieux qui prêcheront pour leur paroisse.

E – Fiscalité

Euh, c’est quoi les impôts…Ah, oui ce que l’on doit sur le bénéfice.
Encore une fois une progressivité de celui-ci serait appliquée pour les 5 premières années et rendue dépendante du chiffre d’affaire réalisé / bénéfices réalisés. Objectifs : permettre les investissement, stabiliser la trésorerie et enfin fonder une assise pérenne de l’entité créée.

Enfin je n’en dirai pas plus car comme tout président, il m’est nécessaire de ménager mes annonces afin d’avoir des nouveautés pour les prochaines échéances de mon programme…

Déduire des impôts sur les sociétés la formation de leurs dirigeants sur les cinqs années suivant la création.

Bonjour à chacune et chacun,
1.- Si j’étais Président de la République, je commencerais par redonner à l’Etat son rôle normal.
L’Etat peut accompagner, mais non pas gérer à notre place.
L’Etat peut légiférer, pour éviter les débordements, éviter les tromperies, etc… Mais je ne suis pas certain que l’on ait besoin d »un Président protecteur… Un Chef d’entreprise est habitué à prendre ses risques, à les calculer, à les jauger.
L’Etat a un rôle régalien, et seulement régalien.
L’administration, pour être efficace, doit avoir de vrais critères de performance (et non pas, comme cela existe dans certains Services, le « nombre d’arrêtés ou de décrets publiés dans l’année »).
Si j’étais Président, je travaillerais, avec les Chefs d’entreprise ou leurs représentants, à la définition de critères de performance de l’administration.
2.- Le nombre de fonctionnaires diminuerait réellement… Cela ne fait pas de réelles économies à cours terme (du fait des effets âge/ancienneté), mais ) long terme oui. En outre, la réduction des effectifs devrait amener les administrations à regarder de plus près les tâches qu’elles effectuent, leur rôle réel, leur rôle vrai, et non pas les tâches qu’elles imaginent devoir faire, souvent avec une réelle bonne foi, mais avec une parfaite ignorance de la vie entrepreneuriale.
En revanche, ce nombre de fonctionnaire ne serait pas diminué de manière identique dans tous les ministères : les ministères régaliens (Affaires internationales, Défense, Intérieur, Enseignement – et non pas « éducation nationale » : l’éducation est de la responsabilité des parents, et non pas de l’Etat! -, Equipements, Economie, Budget… Je ne les ai pas écrit par ordre d’importance…) conserveraient le nombre de fonctionnaires… Les autres, pour beaucoup, n’ont pas besoin de tant de Directions, Services, Bureaux, et autres structures qui, toutes, ne voient leur importance que par le nombre de personnel qui y travaille, et non pas en fonction de leurs responsabilités.
3.- Dans les « services publics » (y compris, par exemple, le RSI… Qui n’est pas l’administration…), je ferai en sorte que les entreprises soient « tranquilles » pour vivre… JE trouve toujours surprenant que l’on demande à un créateur d’entreprise de payer les 1ères années un montant forfaitaire de cotisation sociale en fonction de  ce qu’il gagnerait s’il gagnait la moyenne des gains de son domaine d’activité… Quite à recalculer au bout de 2 ans et rembourser le trop perçu… Si l’on compte les chèques payés, le temps passé à encaisser (tant dans les organismes sociaux que dans les banques), puis à recalculer, puis à rembourser… Au moment où un entrepreneur a besoin de fonds de roulement, on peut faire de très grosses économies…
4.- Dans l’enseignement, Université, Grandes Ecoles, mais aussi enseignement
techniques, je multiplierais les initiations à la création
d’entreprise. Cela se fait déjà, mais par exemple, en plus de notre
entreprise, je suis enseignant intervenant à l’Université, en Master 2
(bac+5… Donc des professionnels en fin d’année), et il n’y a aucune
sensibilisation à la création d’entreprise…
5.- Je remettrais également à plat
         – la formation professionnelle: les stages de formation professionnelle ne sont pas souvent réellement professionnels. Il y a là un trou digne de la plus profonde des failles dans le fond de l’océan… Dans lequel tombent des financements qui ne vont pas toujours à la formation professionnelle…
         – Pôle Emploi: demandez par curiosité à créer votre entreprise, les réponses reçues vous surprendront sûrement… Nous, elles nous ont surpris!
         – les organismes de retraite : qui dit qu’ils sont gérés par les syndicats? Qui dit que ces organismes sont gérés rarement dans le sens de l’intérêt des retraités, mais bien dans celui des syndicats gestionnaires… Voir par exemple les sites de vacances…
         – les caisses de sécurité sociale, pour des difficultés identiques…
6.- Je réorganiserai les nombreux organismes qui travaillent, rarement main dans la main, à l’accompagnement à l’export…. Il y a un réel progrès depuis quelques années… Mais il reste du travail : UBIFrance, les CCI, le MEDEF International, et des entreprises privées, devraient pouvoir travailler totalement ensemble sur ce sujet!

En bref, je tâcherais que, partout, l’administration et les organismes publics soient réellement au service des entrepreneurs!
Et j’agirais, dès le lycée, pour que les enfants entendent positivement parler de l’entreprise, de cette aventure formidable de créer une entreprise, de voir notre « bébé » grandir, d’offrir ainsi des emplois, bref, de vivre, vraiment!

Très bonne réflexion à chacune et à chacun… Les réactions des autres intervenants sont aussi très intéressantes!

François

Si je devenais présidente de la république, je bannirai les cotisations forfaitaires qui doivent être versées au RSI les deux premières années (et sont censées être remboursées en N+3, si toutefois on est encore debout) quand on est au statut de travailleur non salarié. 
Non mais franchement, j’aimerais bien voir le nombre de gérants qui perçoivent autant de rémunération que le montant des cotisations réclamées ! Et quand on est gérant bénévole en TNS, il y a au RSI des cotisations forfaitaires minimales à régler, alors même qu’on ne touche pas le moindre euro. Et après, on vient nous dire que « monter son entreprise, c’est trop facile », mouais…

Bonjour,
J’ai un programme très réaliste.
Il manque plus de 20% de PIB pour que les comptes d’état soient en équilibre, soit 20% d’heures travaillées.
Si les 40 heures étaient votées, ce serait un bousteur d’activité très rapide, d’augmentation des revenus pour les bas donc du pouvoir d’achat, dec la consommations, des investissements avec diminution du chômage…
Dans un contexte de pleine activité, il y aurait beaucoup plus de possibilités de trouver des crénaux pour entreprendre avec des chances de plus grande pérennité de survie, des C.A. et bénéfices plus importants.
Alors faisons pression pour passer à 40 h et augmenter la durée globale d’activité pendant la durée de vie, augmantiond de la Durée de vie oblige. (7h1/2 de + chaque jour)
Bon courage à tous.
Danile MOINIER
livres-daniel-moinier.com

Bonjour,
J’ai un programme très réaliste.
Il manque plus de 20% de PIB pour que les comptes d’état soient en équilibre, soit 20% d’heures travaillées.
Si les 40 heures étaient votées, ce serait un bouster d’activité très rapide, d’augmentation des revenus pour le bas donc du pouvoir d’achat, de la  consommation, des investissements avec diminution du chômage…
Dans un contexte de pleine activité, il y aurait beaucoup plus de possibilités de trouver des créneaux pour entreprendre avec des chances de plus grande pérennité de survie, des C.A. et bénéfices plus importants.
Alors faisons pression pour passer à 40 h et augmenter la durée globale d’activité pendant la durée de vie, augmantion de la Durée de vie oblige. (7h1/2 de + chaque jour)
Bon courage à tous.
Daniel MOINIER
livres-daniel-moinier.com

Pour moi, le plus important est de redonner ses lettres de noblesse au statut d’entrepreneur et à l’esprit d’initiative. Une action, s’il fallait n’en donner qu’une serait d’introduire l’entreprise dans le financement des programmes universitaires. Cela permettrait de créer un pont entre deux univers important ue sont l’éducation et l’entreprise.
Bien entendu, sans faire disparaître certaines filières. Ces dernieres seraient financées par une partie des ressources dégagées par les programmes les plus productifs et innovants.

À bientôt et merci pour ce concours !

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