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Bonnes pratiques Chroniques

Revue de presse entrepreneuriat et entrepreneurs septembre et octobre 2011 (1)

Dans mon livre sur l’entrepreneuriat, vous avez pu remarquer que l’ESCEM (ESC Tours – Poitiers) faisait partie de mes partenaires. Cette école de commerce dans laquelle j’ai été également diplômé, proposera des revues de presse sur l’entrepreneuriat. Voici la première réunissant plusieurs articles sur l’actualité des entrepreneurs et de la création d’entreprise pour les mois d’octobre et de septembre 2011. Bonne lecture et merci à l’ESCEM pour cette contribution 😉

« L’innovation comme outil de lutte contre la pauvreté et l’exclusion : le cas Emmaüs, in : développement durable et innovation »

AUGER (Pascale) REYNAUD (Emmanuelle), , Gestion deux mille, vol.28, °2, mars-avril 2011, pp 51-68

L’objectif de cette recherche est de mieux comprendre les futurs leviers permettant à l’entrepreneuriat social de favoriser la production d’innovations sociales. Pour se faire, les auteures ont réalisé une étude qualitative approfondie de l’organisation Emmaüs. 27 entretiens semi-directifs, ainsi que de longues périodes d’observation ont été effectués au sein de quatre communautés. Pour éclairer les facteurs favorisant la production d’innovations sociales, elles ont utilisé le modèle de management des innovations de Staw (1990). Les données ont été traitées selon une analyse thématique de contenu. Certains des thèmes ont été identifiés par le modèle de Staw, d’autres sont apparus de façon émergente. Le logiciel Nudist-Nvivo a été utilisé pour soutenir l’analyse. Les résultats montrent que les innovations sociales s’appuient sur des leviers communs à toutes les innovations et définis dans le modèle de Staw (1990). Ils montrent également que les innovations sociales se nourrissent de leviers qui leur sont propres : la mission sociale, l’autonomie de décision et d’action. Cet apport théorique permet de proposer un modèle de management des innovations sociales. Les apports empiriques suggèrent un certain nombre de préconisations concrètes pour le management des innovations et notamment des innovations sociales. Bibliographie. Document de fond. Pas de chiffres.

« Coordination et franchise, de la capacité d’obéissance à la capacité d’initiative »

ALLAM (Délida), économies et sociétés, n°6, tome XLV, W13, juin 2011, pp 941-955.

Les réseaux de franchise représentent une forme d’entrepreneuriat collectif. Les entrepreneurs répartis sur un territoire marchand choisissent d’agir de façon concertée et homologue face aux attentes des consommateurs. Cette forme hybride de coordination se différencie à la fois du marché et de la firme et répond à un nouvel environnement économique. L’article cherche à caractériser cette évolution en examinant les critères de recrutement des futurs franchisés et leurs conséquences managériales. Peu de chiffres. Bibliographie.

« Quinquapreneurs : état des lieux et conseils »

BOSETTI (Alain), Courrier cadres, septembre 2011- n°54-p 52

Eclairage sur les entrepreneurs seniors, ou quinquaprenurs, responsables de 100 000 créations d’entreprises en 2010. Des entrepreneurs plus souvent poussés par l’envie que par des difficultés rencontrées sur le marché du travail. Les quinquapreurs sont répartis en trois profils : déjà entrepreneurs, demandeurs d’emploi, salariés. Conseils à destination des quinquapreneurs qui souhaitent réduire les risques d’un projet de création d’entreprise : tester son projet, étudier une création en franchise, contacter un réseau d’accompagnement à la création, se constituer un réseau d’entrepreneurs. Quelques données chiffrées.

 

«  Quoi de neuf avec l’effectuation ? »

HOFFMANN (Jonas), VIAN (Dominique), DM-Décisions marketing, n°63, juillet-septembre 2011, pp 85-88

Apparu au début des années 2000 dans le champ de l’entrepreneuriat, l’effectuation est un concept qui connait un intérêt croissant en management et plus récemment en marketing. Celui-ci apporte un éclairage intéressant pour le marketing en situation de forte incertitude. Cet article revient brièvement sur la description de ce concept pour ensuite en discuter les éléments novateurs ainsi que les difficultés quant à sa mise en œuvre. Quelques références bibliographies. Pas de chiffres.

 

« BGE, l’accompagnement de proximité »

Rebondir, n°188, septembre 2011. P 72

Présentation, en 2011, du réseau français BGE (anciennement réseau des boutiques de gestion) qui a pour rôle de soutenir la création d’activités génératrices d’emploi et d’œuvrer pour que l’entrepreneuriat soit une réalité accessible à tous. En 2010, BGE a accompagné 17500 entreprises grâce à son vaste réseau au cœur des territoires, composé de 430 implantations. Détails sur ces missions. Quelques données chiffrées.

 

« L’entrepreneuriat du XXIème siècle »

Problèmes économiques, n°03026, 14 septembre 2011, pp 1, 3-55

Compilation d’articles consacrée, en septembre 2011, à la figure de l’entrepreneur et à la culture entrepreneuriale au XXIème siècle en France, alors que l’on s’interroge sur la nature et la forme que pourrait prendre « l’entreprise post-crise ». Un domaine dans lequel la France est en retard en raison d’une culture davantage tournée vers le savoir que vers l’expérience. Cependant si l’entrepreneur est intéressé après la réalisation d’un bénéfice, une bonne part de la motivation est immatérielle. Désormais, l’état joue un rôle fondamental dans le développement de l’activité entrepreneuriat : création du statut d’auto-entrepreneur, émergence de concours dédiés à la création d’entreprise, etc.…

Sommaire : Pourquoi devient-on entrepreneur ? La fonction de l’entrepreneur aujourd’hui ? L’auto-entrepreneur cherche encore sa place ; Passage obligé pour le lancement d’une start-up ; Les entrepreneurs du XXIème siècle : un changement qualitatif ; Repères : quelques entrepreneurs emblématiques du XXIème siècle ; Entrepreneuriat dans le mode ; L’entrepreneuriat en France ; Les créations d’entreprises et d’auto-entreprises en France en 2010 ; Start-up ou jeunes pousses, croissance autonome ou rachat ; Capital-risque, business angels….Les mots de l’entrepreneuriat. Données chiffrées. Bibliographie.

 

« Filières, programmes et modules. Inventer, entreprendre, réussir »

RIMONDI (Laurène) , Le Nouvel économiste, Universités et grandes écoles, supplément au n° 1581, 22 septembre 2011, pp 14-15

Le point, en septembre 2011, sur la volonté des universités et écoles françaises d’inoculer à leurs élèves ingénieurs le virus de l’entrepreneuriat alors que le pays possède une culture d’excellence dans l’ingénierie mais que les étudiants créant leur start-up sont rares en comparaison avec les Etats Unis. Leurs stratégies : la création de modules et filières ‘entreprendre’ ; La création d’incubateurs internes ayant pour fonction de valoriser la recherche, la formation et le développement économique ; La présence des entreprises dans les écoles. Explications et détails. Peu de chiffres. Encadré : les secteurs innovants, IT, encore et toujours.

« Du microcrédit au social business »

Problèmes économiques, n°3027, 28 septembre 2011, pp 1-35

Compilation d’articles consacrés en septembre 2011, à la place de choix qu’occupe le microcrédit dans les politiques de lutte contre la pauvreté dans le monde, et son réel impact sur le niveau de vie, alors qu’il fait partie des principaux instruments économiques mis au service des politiques de développement. Un microcrédit qui a évolué vers une micro finance plus globale, avec une gamme étendue de services financiers, et un modèle économique d’entrepreneuriat social, destiné à améliorer, par l’activité de l’entreprise, les problèmes sociaux et environnementaux. Sommaire : Inde : le microcrédit en danger ; Microcrédit, miracle ou désastre ? La crise financière : une opportunité pour la microfinance ? Qu’est ce qu’un entrepreneur Social ? Grameen / Danone ou les leçons du social business. Repères : le microcrédit en chiffres ; Muhammad Yunus, père du microcrédit ! La Grameen Bank ; microcrédit…social busines : de la théorie à la pratique. Données chiffrées. Bibliographie. Document de fond.

 

« L’auto entreprise, un bilan en demi-teinte »

Le Monde, 10 octobre 2011.

Plus de deux ans après, une création d’entreprise sur deux est toujours le fait d’une création d’auto-entreprise. 800 000 auto-entreprises ont été créées sur cette période, dont 190 845 en 2011, mais l’engouement de la première année est derrière nous. Après une moyenne de 27 000 à 30 000 créations d’auto-entreprises par mois en 2009 et 2010, une baisse s’est amorcée en mai 2011, qui a ramené cette moyenne mensuelle à 23 880.

 

« De l’auto-entreprise au portage salarial. Seul et bien accompagné »

LECA (Pierre-Jean) , Le nouvel Economiste, n°1583 6 octobre 2011, pp 75-77

Décryptage, en octobre 2011, du succès incontestable du régime de l’auto-entrepreneur en France, près de trois ans après son lancement. Environ 900 000 créateurs se sont laissés séduire par ce régime caractérisé par sa grande simplicité. Si la réussite de l’auto-entrepreneuriat ne se dément pas, celui-ci demeure une solution temporaire. Aussi, importe-t-il de savoir gravir l’échelon supérieur, et pourquoi pas de basculer vers le portage salarial. Un statut moins cadré financièrement, qui réduit cependant la liberté d’entreprendre du jeune créateur, et représente un coût non négligeable pour le porté. Deux contraintes qui, bien souvent, refroidissent les auto-entrepreneurs. Des commentaires d’experts. Pas de chiffres.

 

« De l’auto entrepreneuriat à l’entreprise classique. Le statu idoine »

BROUSSE (Solange), Le nouvel Economiste, n°1583, 6 octobre 2011, pp 79-80

Le point, en octobre 2011, sur les atours du statut de l’auto-entrepreneuriat en France. Un statut idéal pour démarrer une petite activité. Mail il trouve vite ses limites. Pour preuve, un tiers des affiliés au régime souhaite adopter un statut plus classique, pour accroitre son chiffre d’affaires, augmenter ses charges et investir. La prochaine étape juridique se prépare en amont : l’éventail de choix est large, et pour le moins déterminant. Des détails avec un zoom sur les bonnes questions à se poser avant de se lancer. Des commentaires de professionnels. Quelques données chiffrées sur le nombre d’auto-entrepreneurs en France.

 

« L’entrepreneuriat à travers le monde »

TRIDON (Cécile), Chef d’entreprise.com, le 11 octobre 2011

Qu’il s’agisse d’économies émergentes ou matures, les pays du G20 n’ont pas tous la même culture entrepreneuriale. Une étude fait le point sur les différences qui subsistent entre les pays membres.

L’étude du cabinet McKinsey & Company distingue précisément quatre cultures entrepreneuriales différentes. La première : un groupe constitué des Etats Unis, du Canada et de l’Australie. Dans ces pays, l’entrepreneuriat est l’un des principaux moteurs de l’économie. Par exemple, il y aurait 1,8 millions d’emplois supplémentaires si la création de jeunes entreprises s’était poursuivie ces dernières années au même rythme qu’en 2007. Le deuxième groupe (R.U, France, Allemagne, Italie, Japon) se caractérise par un entrepreneuriat moins dynamique mais néanmoins à forte valeur ajoutée, notamment grâce aux jeunes entreprises qui contribuent de manière importante à l’emploi.

En Chine, au Brésil et en Argentine, le taux moyen d’entrepreneuriat reste l’un des plus élevés (14,7% sur la période 2006-2010). Dans les pays émergents, l’entrepreneuriat est caractérisé par un dynamisme presque « naturel ».

 

« une Smartbox pour développer votre business »

LALANN (Malory), Chef d’entreprise.com, le 10 octobre 2011.

Deux jeunes entrepreneurs ont imaginé une boite à outils pour les créateurs, repreneurs d’entreprise et franchisés, spécialisée dans six domaines d’intervention : la gestion, la communication, le marketing, le droit, la comptabilité et le web marketing. « MyBizBox ».

 

« Auto entrepreneur : les quatre clefs de la réussite »

FROGER (Valérie), L’express, 12 octobre 2011, n°3145

A l’approche de son troisième anniversaire, l’auto entrepreneuriat, continue d’attirer les français. Tous les mois, ils sont encore près de 20 000 à opter pour ce régime et à venir grossir les rangs des  700 000 auto-entrepreneurs déjà en activité. Cela ne signifie pas que tous les auto-entrepreneurs réussissent. Plus de 20% jettent l’éponge au bout de quelques mois. Pour se développer avec succès, une auto entreprise doit en effet respecter quelques règles et adopter les bonnes stratégies : exercer une activité en tension ; Opter pour le régime fiscal le plus favorable ; Gérer son activité en bon père de famille ; Passer la vitesse supérieure sans tout risquer.

 

« Filières, programmes et modules. Inventer, entreprendre, réussir »

RIMONDI  (Laurène), Le Nouvel économiste, 22 septembre 2011 – Universités et grandes écoles, supplément au n°1581 – pp 14-15

Le point, en septembre 2011, sur la volonté des universités et écoles françaises d’inoculer à leurs élèves ingénieurs le virus de l’entrepreneuriat alors que le pays possède une culture d’excellence dans l’ingénierie mais que les étudiants créant leur start-up sont rares en comparaison avec les Etats-Unis. Leurs stratégies : la création de modules et filières ‘entreprendre’ ; La création d’incubateurs internes ayant pour fonction de valoriser la recherche, la formation et le développement économique ; La présence des entreprises dans les écoles. Explication et détails. Peu de chiffres. Encadré : les secteurs innovants, IT, encore et toujours.

 

« L’entrepreneur du XXIème siècle »

Problèmes économiques, 14 septembre 2011 – n°3026 – pp1, 3-35

Compilation d’articles consacrée, en septembre 2011, à la figure de l’entrepreneur et à la culture entrepreneuriale au XXIème siècle en France, alors que l’on s’interroge sur la nature et la forme que pourrait prendre « l’entreprise post-crise ». Un domaine dans lequel la France est en retard en raison d’une culture davantage tournée vers le savoir que vers l’expérience. Cependant, si l’entrepreneur est intéressé par la réalisation d’un bénéfice, une bonne part de sa motivation est immatérielle. Désormais, l’Etat joue un rôle fondamental dans le développement de l’activité entrepreneuriale : création du statut d’auto-entrepreneur, émergence de concours dédiés à la création d’entreprise, etc. Sommaire : Pourquoi devient-on entrepreneur ? La fonction de l’entrepreneur aujourd’hui. L’auto entrepreneur cherche encore sa place ; Passage obligé pour le lancement d’une start up ; Les entrepreneurs du XXIème siècle : un changement qualitatif. Repères : Quelques entrepreneurs emblématiques du XXIème siècle ; Entrepreneuriat dans le monde ; L’entrepreneuriat en France ; Les créations d’entreprise et d’auto entreprises en France en 2010 ; Start up ou jeunes pousses ; Croissance autonome ou rachat ; Capital risque, business angels…, Les mots de l’entrepreneuriat. Données chiffrées. Bibliographie.

 

« BGE, l’accompagnement de proximité »

Rebondir, septembre 2011 – n°188 – p 72

Présentation, en 2011, du réseau français BGE (anciennement Boutiques de Gestion) qui a pour rôle de soutenir la création d’activités génératrices d’emploi et d’œuvrer pour que l’entrepreneuriat soit une réalité accessible à tous. En 2010, BGE a accompagné 17 500 entreprises grâce à son vaste réseau au cœur des territoires, composé de 430 implantions. Détails sur ses missions. Quelques données chiffrées.

 

« Les couveuses d’entreprise. Expérience grandeur nature »

LANNUEZL (Antoine), Le Nouvel économiste, 6 octobre 2011 – n°1583 – pp 69-72

Décryptage, en octobre 2011, des atouts de la couveuse d’entreprise, outil de développement économique local par excellence, qui a pour mission de permettre aux entrepreneurs en herbe de se tester sans risque, grâce à un « hébergement juridique » de quelques mois et un accompagnement renforcé. Les couveuses sont moins spécialisées que les incubateurs mais elles misent sur la sécurité des prestations sociales et la crédibilité conférée au projet soutenu. Elles peuvent être un outil de reconversion ou d’insertion. Des détails au travers de retours d’expériences de professionnels français. Pas de chiffres.

 

« Créer son entreprise, in : Dossier. Créer son entreprise sur Internet »

Challenges, 6 octobre 2011, n°271 – p64

Introduction à un dossier consacré, en octobre 2011, à la création d’une entreprise sur internet, qui se développe en France grâce à la montée du statut d’auto-entrepreneur et à la simplification des outils numériques. 17 800 nouveaux sites marchands ont vu le jour en France en 2010, portant le nombre total à 81 900. Les clés pour réussir : trouver la bonne idée, adapter son modèle, s’organiser. Détails. Peu de chiffres ;

 

« Les bonnes adresses, in : Dossier. Créer son entreprise sur Internet

Challenges, 6 octobre 2011 – n°271- p 78

Liste, en octobre 2011, de bonnes adresses pour aider les entrepreneurs français à construire leur net-entreprise. Liste d’acteurs institutionnels, d’associations et de groupes, de site d’études et d’analyses, de salons professionnels, de rendez vous réguliers et de formations. Pas de chiffres.

 

« Etre organisé, in : Dossier. Créer son entreprise sur internet »

LOUBIERE (Paul),  Challenges, 6 octobre 2011- n°271-pp 76-77

Conseils pratiques, sous la forme d’un panorama de cas d’entreprises françaises, aux entrepreneurs qui veulent créer une entreprise sur internet, sur la nécessité de s’organiser. Les créateurs d’une net-entreprise doivent trouver la structure qui convient à son équipe et à son modèle économique, quitte à en changer par la suite pour s’adapter à la croissance de l’activité. Conseil pratique : établir son bilan de compétences. Quelques données chiffrées.

 

CALIXTE (Laurent), « savoir s’adapter, in : Dossier. Créer son entreprise sur internet », Challenges, 6 octobre 2011 – n°271 –pp72-74

Conseils pratiques sous la forme d’un panorama de cas d’entreprises françaises, aux entrepreneurs qui veulent créer une entreprise sur internet, sur la nécessité de s’adapter. Les e-commerçants ne doivent pas hésiter à modifier en profondeur leur business model pour l’adapter aux demandes des clients. Conseil pratiques : avoir deux ou trois mois de stock, tester son activité en auto-entrepreneur. Quelques données chiffrées.

 

 

 

BRIAND(Soizic) DUSSUEIL (Jeanne), « Trouver l’idée, in : Dossier. Créer son entreprise sur Internet », Challenges, 6 octobre 2011 – n°271 –p64

Conseils pratiques, aux entrepreneurs qui veulent créer une entreprise sur internet, sur les moyens de trouver une idée innovante. Les conseils : renouveler le connu, créer une rupture innovante. En pratique : évaluer son idée avec une étude de marché, entretenir son blog, choisir les bons outils. Quelques données chiffrées.

 

LEWANDOVSKI (Jean-Claude), « Entrepreneuriat, le retard français », Les Echos, 12/21040, le 18 octobre 2011

Conclusion de l’étude présentée par Ernst&Young qui analyse les « écosystèmes entrepreneuriaux » dans les 20 pays membre du G20.

Seuls 23% des entrepreneurs interrogés pensent en effet que la France est un pays dont la culture encourage l’initiative et la création.(moyenne des pays du G20 ; 76%). Ce retard apparait comme un handicap majeur pour l’économie française, au moment où la plupart des experts s’accordent pour voir dans l’entrepreneuriat le meilleur moyen de sortir de la crise. L’étude analyse aussi quatre aspects clefs du paysage entrepreneurial : l’éducation, l’accès au financement, la réglementation et le soutien coordonné. Sur le premier point 70% des entrepreneurs sont convaincus que les étudiants ont besoin d’une formation spécifique pour se lancer. De même 88% estiment que les « success stories » et les programmes d’accompagnement pour créateurs contribuent à motiver les étudiants. Un peu partout dans le monde, l’accès au financement reste un point faible : 62% des entrepreneurs le jugent difficile.

 

« Les français ont une âme d’entrepreneur, 500 000 d’entre eux vont créer leur société en 2011 », Le Figaro Plus du 11 octobre 2011.

Ce numéro spécial aborde les points suivants : La création d’entreprise, une valeur qui monte ; Etre entrepreneur, un choix de vie ; Les conseils pour réussir ; S’entourer de bons interlocuteurs ; Bien financer sa micro entreprise ; Créer en franchise ; Paroles de créateurs d’entreprise.

 

Le prochain article de cette revue de presse (en deux parties) portera sur les news de l’APCE, autres partenaires de l’aventure Entrepreneuriale 🙂

Par Jérôme HOARAU

Jérôme Hoarau est conférencier en soft skills (Jerome-Hoarau.com) et est co-organisateur du championnat de France officiel de Lecture Rapide et de Mind Mapping. Il a obtenu plusieurs titres de sport du cerveau tels que :
- Champion du monde de Mind Mapping 2018
- Champion du Royaume-Uni de Mind Mapping 2019
- Vice-champion du Royaume-Uni en Lecture Rapide 2019
Il est le co-auteur des livres "Les Gentils aussi méritent de réussir" (Alisio) et de "Soft Skills (Dunod). Il a également co-fondé le site PassiondApprendre.com.

2 réponses sur « Revue de presse entrepreneuriat et entrepreneurs septembre et octobre 2011 (1) »

Merci pour ces articles très pertinents.

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En espérant que cela puisse vous aider et vous apporter des informations complémentaires. Nous vous souhaitons une très bonne lecture à tous !

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